Un alumni sur les planches

De TBS au théâtre

Après un Master en management à Toulouse Business School suivi de trois années en entreprise, Francois RAÜCH DE ROBERTY (ESC 2009) intègre le Cours Florent en 2012. 

A sa sortie en 2015, il obtient ses premiers rôles en doublage (notamment dans NCIS Los Angeles, Teen Wolf, New York Unité Spéciale), ou devant la caméra (Samuel de Amaru Cazenave), se passionne pour la Méthode Meisner qu'il expérimente au sein de Simplicius, et devient assistant metteur en scène de Pascal Vitiello (notamment pour Mère Teresa de Joëlle Fossier avec Catherine Salviat).

www.francoisrdr.com

Jean la chance

En parallèle, François a un coup de coeur pour la pièce Jean la chance de Bertolt Brecht qu'il décide de monter avec d'autres comédiens issus du Cours Florent et dans laquelle il tiendra le rôle principal : Jean. Et c'est avec l'aide de la compagnie théâtrale Frères d'Art ainsi que celle du théâtre Le Studio Hébertot que ce projet rencontre le succès fin juin.

Fort de son succès, la pièce est à nouveau à l'affiche pour 3 dates au Théâtre de Menilmontant :

Mardi 21 novembre - Mardi 5 décembre - Samedi 9 décembre

Jean La Chance de Bertolt BRECHT
avec Lou Guyot, Benjamin Assayag, François Raüch de Roberty et Constant Vandercam,
mis en scène par Constant Vandercam, assisté de Tiphaine Canal

L’extraordinaire histoire d’un fermier naïf et empathique qui, un jour, part à l’aventure sur les routes.

Jean, fermier naïf et empathique, connaît une vie paisible aux côtés de sa femme, la ravissante Jeanne. Jusqu’au jour où un certain Monsieur Feili abuse de l’hospitalité du jeune couple.

S’en suit un véritable « road trip » d’un an. Jean traverse les collines, une fête foraine, les berges d’une rivière, des champs de taureaux, les quartiers mal famés de la ville. Et à chacune de ses rencontres, il échange ce qu’il possède. Malheureusement, les trocs effectués semblent rarement être à son avantage.

Avec cette comédie dramatique, adaptation magistrale du conte homonyme des frères Grimm, Bertolt Brecht nous fait réfléchir sur le lien entre la possession et le bonheur.

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